Nathalie la fourbe

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il y a 8 ans

Nathalie la fourbe

Nous vivions ensembles, Nathalie et moi, depuis quelques mois et si nous avions d'abord exploré les fruits défendus d'une sexualité entre filles nous l'avions vite agrémentée de jeux plus coquins. Au début, nous nous contentions de nous attacher les poignets ou de nous mettre un bandeau ou un bâillon. C'était gentillet mais il nous manquait quelque chose! Nous avons vite pimenté l'affaire en jouant à nous soumettre à la volonté de l'autre. C'était un jeu, limité dans le temps et en général nous le pratiquions le vendredi soir, toute la nuit parfois.

Cette fois, j'avais imposée à Nathalie de passer la nuit dehors complètement nue et attachée par mes soins. Nous étions en plein été et la température était plutôt douce. Je lui avais lié les poignets ensemble dans le dos, j'avais passé une corde, savamment parsemée de noeuds, entre ses jambes et l'avait passée par devant, l'attachant d'abord à la taille puis au niveau de la poitrine et enfin par dessus les épaules. Avec ce qui restait de cette corde, j'attachais ses coudes ensemble, les rapprochant le plus possible au point qu'ils se touchaient presque et en serrant brusquement les noeuds que je faisais, je tendis la corde qui lui titillait le sexe et tirait ses bras vers l'arrière. Elle gémissait un peu plus fort à chaque noeud, se retenant de me supplier. Je terminai par un bâillon, un simple foulard rouge qui lui permettait encore de petits glapissements...

Il était dix heures du soir, nous devions attendre que la nuit soit bien noire avant d'entamer notre périple. Nous allions parcourir ainsi quelques kilomètres dans la campagne, à travers les champs et des chemins que nous connaissions par coeur, l'une et l'autre. Nous avions aussi plusieurs routes à traverser dont l'une était très passante car elle menait à une boite de nuit très fréquentée... Là était la difficulté car nous ne voulions pas vraiment nous faire surprendre et c'était là qu'était le piment de l'affaire. Nous partirions à minuit et nous aurions deux heures de marche et autant pour revenir. J'avais choisi le point d'arrivée à une cabane perdue située en plein milieu d'une lande, sans aucun arbuste et sans rien pour nous cacher si nous étions surprises.

L'heure venue nous partîmes, ma copine nue et enserrée dans ses liens et moi marchant quelques pas en arrière, convenablement vêtue. De la maison, nous allions directement dans un chemin qui passait dans un petit bois, puis traversait plusieurs prés et champs. Nathalie était superbe ainsi, gémissant au moindre faux et menaçant de s'étaler mais se rattrapant miraculeusement. J'avais renoncé à lui mettre des hauts talons qui n'auraient guère été pratique et j'avais aussi abandonné l'idée qu'elle irait pieds nus. Elle portait de simples baskets qui convenaient mieux, ainsi elle nese blesserait pas, ce n'était qu'un jeu après tout! A un moment, nous dûmes franchir un barbelé et je dus l'aider.

Je l'aidais à se coucher sur le sol et elle se mit à ramper. N'y parvenant pas, elle dû se mettre sur le côté pour avancer tandis que je soulevais autant que je pouvais le fil barbelé afin de lui faciliter la tâche. Elle s'égratigna la hanche et gémit alors, secouant v i o l emment la tête! Visiblement elle voulait renoncer et rentrer, elle voulait finir le jeu... Je lui enlevais son bâillon et elle pleurnicha : « s'il te plait! Arrêtons, je t'en prie... » Il n'en était bien sûr pas question, je lui replaçais le bâillon et fis mine de m'éloigner. « Je te laisse là, si tu ne veux pas venir, c'est toi qui voit! » Elle rampa aussitôt avec plus de vigueur pour se dégager complètement des barbelés et je revins vers elle pour l'aider à se relever. « Prête à continuer? » Elle hocha la tête, la résignation dans les yeux et nous repartîmes.

J'avisais plus loin un champ de ronces couvrant une grande étendue et je nous détournais de notre chemin pour y passer tout droit. J'avais des chaussures de marche et un pantalon ce qui me protègerait sûrement mais pas elle : avec ses baskets et ses jambes nues, elle devrait redoubler d'attention pour ne pas trop s'égratigner et encore plus pour ne pas tomber! Elle hésita, soupira puis elle avança avec précaution à travers les ronces. Elle devait parfois lever haut les pieds pour contourner un obstacle trop important et maintes fois elle égratignait ses mollets qui saignaient déjà. Je commençais à m'inquiéter mais elle avait pris le rythme et bientôt nous fûmes de l'autre côté du champ de ronces. La suite du chemin était plus aisée et je n'eus plus la tentation de lui compliquer la tâche, celle-ci étant déjà bien assez ardue.

Au bout d'une heure nous n'avions pas parcouru tout le chemin escompté et je commençais à me demander s'il ne faudrait pas écourter la ballade. Nous nous arretâmes pour nous reposer quelques instants. Ma copine s'adossa à un arbre rugueux et prenant appui sur celui-ci réussit à s'asseoir sans mon aide. Je m'assis face à elle et la regardai, curieuse : elle évitait mon regard et baissait les yeux. J'avais l'impression qu'elle avait cessé de jouer la soumission pour l'incarner toute entière, à moins qu'elle ne soit en réalité très fâchée contre moi (avais-je été trop loin en lui imposant cette épreuve?) et qu'elle se vengerait dès qu'elle le pourrait... Je n'oubliais pas que la prochaine fois ce serait moi qui serait à sa merci, elle aurait tout le loisir de me le faire payer... aussi cher qu'elle le désirerait! Mais en attendant c'était moi qui était aux commandes et j'entendais bien en profiter...

« Allons, feignasse, allons-y! » J'avais pris une badine bien longue et lui caressai doucement les jambes avec, menaçant en même temps de la frapper si elle n'obéissait pas asez vite. Elle baissa les yeux, tenta de se mettre à genoux et d'appuyer son épaule contre le tronc pour se relever. Après deux tentatives infructueuses, elle réussit enfin à se mettre sur ses pieds puis à se redresser. Je promenai ma badine sur ses cuisses puis ses hanches remontant doucement jusqu'à ses seins : elle frémit et je vis dans ses yeux qu'elle avait un instant relevés la peur, la peur que je ne la frappe, la peur que je la laisse là et en même temps la soumission, à présent elle obéirait, quoique je lui demande. Ce n'était plus vraiment un jeu pour elle! Je la frappai doucement sur la hanche pour lui dire d'avancer et elle obéit sans un murmure ni un gémissement.

Lorsque nous arrivâmes près de la route que nous devions traverser, elle n'hésita pas! Une voiture était là pourtant, arrêtée sur l'accotement et un homme semblait attendre, appuyé sur le véhicule. Nathalie l'avait bien vu, elle aussi mais elle ne fit pas un mouvement pour se cacher, elle avança au contraire au devant de l'inconnu... Et j'étais là, derrière, comme une conne, hésitant entre me sauver ou m'approcher : j'attendais, muette!

L'homme ne fut pas un instant surpris, « je vous attendais » fit-il! « vous en avez mis du temps... »

Nathalie, légèrement éclairée par les phares de la voiture, tremblait à peine quant à moi j'étais terrorisée! « Comment avez-vous su...? » demandais-je naïvement. L'homme éclata d'un rire gras : « ça fait des semaines que je vous observe, toutes les deux! C'était très bien vos petits jeux mais maintenant il faut passer aux choses plus... sérieuses! N'est-ce pas, ma petite Nathalie? » Il l'avait désignée du menton et me regarda à nouveau avec un petit sourire : « et toi, es-tu prête? » Je ne bronchai pas, soudainement saisie de panique et je le vis soudain avec stupeur faire un signe à Nathalie qui s'approcha soumise près de l'homme.

Celui-ci lui ôta son bâillon et lui dit en me montrant : « explique-lui! » Elle se tourna tant bien que mal vers moi, me sourit et déclara : « l'homme que tu vois là s'appelle Jo, c'est mon maître et je lui obéis en tout! Je t'ai initiée aux jeux de la soumission, je t'ai montré ce soir ce qu'est la vraie soumission lorsqu'elle n'est pas un jeu... Toi aussi, tu vas apprendre, il te faudra du temps mais tu apprendras! » Puis elle se retourna en direction de Jo et lui demanda très respectueusement : « puis-je continuer cette petite ballade, mais avec elle dans mon rôle, maître? » Elle m'avait désigné du menton négligemment et un instant Jo hésita... Puis son visage s'éclaira lentement, c'était une bonne idée se dit-il! « D'accord! » fit-il « emmènes-la à la cabane où elle avait prévu de t'amener et je vous retrouverai là-bas! »

En deux pas, il fut sur moi qui était restée muette et comme hypnotisée, je n'avais même pas songé à fuir... à moins que depuis le début je n'aie eu envie de cela, en effet j'adorais lorsque c'était ma compagne qui me soumettait! Il me saisit par les cheveux, me f o r ç a à m'agenouiller et, sortant un couteau... il se mit à découper mes vêtements, lentement, un à un. Je me laissai faire et je fus bientôt nue, moi aussi, comme l'était toujours Nathalie. Il me prit par le poignet, m'amenant de f o r c e près d'elle qui attendait patiemment, toujours attachée, immobile. Il m'ordonna de m'agenouiller à ses pieds et j'obéis sans hésiter, à ma grande surprise. « Reste-là, » ordonna-t-il! Puis il détacha lentement ma compagne, alla chercher une longue corde dans sa voiture et la donna à ma compagne. « Mets-toi debout », fit-elle doucement et, là encore j'obéis...

Je fus bientôt ligotée bien plus sévèrement que je ne l'avais fait pour Nathalie! Elle avait enserré mes seins dans un réseau de cordes qui les comprimaient et mon sexe était déjà en feu, tant elle avait serré les cordes qu'elle avait placées entre mes jambes. Le moindre de mes mouvements m'enflammait et je ne savais plus si je ressentais douleur ou plaisir... De plus, mes jambes étaient partiellement entravées par une corde qui m'empêchait de faire de trop grands pas mais qui me laissait libre d'avancer, lentement...

Jo avait aussi apporté des pinces spéciales auxquelles étaient suspendus des poids. Elle m'en plaça une sur un mamelon, je gémis d'abord puis, lorsqu'elle lâcha brusquement le poids, mon sein s'enflamma brusquement d'une douleur vive et je hurlai! Aussitôt je reçus une gifle, puis une autre... Je ne comprenais pas : fallait-il qu'en plus je ne hurle pas si elle me faisait mal? Elle me gifla de nouveau, plus fort et ajouta : « excuses-toi, allons, plus vite! » Des larmes perlaient déjà dans mes yeux et je bafouillai : « pardon... » J'hésitai à ajouter « maîtresse » comme lorsque nous jouions... mais là ce n'était plus un jeu, je n'ajoutais rien, tremblant et m'attendant à une autre gifle.

Elle plaça l'autre pince sur l'autre sein, joua un instant avec le poids qui allait étirer mon mamelon puis le lâcha. La douleur fut plus atroce mais cette fois, je serrai les dents, réussissant à contenir mon hurlement. Elle sourit presque affectueusement, me tapotant doucement la joue. Je détournai vite la tête en baissant les yeux : le moindre manquement serait sanctionné, j'en étais sûre et si je n'obéissais pas assez rapidement, la sanction serait plus dure encore.

Nathalie m'avait laissé mes chaussures, ce dont je me réjouissais car les chemins étaient plutôt rudes jusqu'à la cabane. Ma compagne me regarda un instant puis elle demanda à Jo : « Faut-il que je lui enlève ses chaussures, maître? » Il sourit, sembla un instant tenté mais il fit non de la tête, puis il me demanda malicieusement : « Tu préfères quoi? Garder tes chaussures mais avoir un bâillon? Ou ne pas avoir de bâillon mais ôter tes chaussures? » J'hésitai un instant, tremblante. « Alors? » s'impatienta-t-il « ou bien veux-tu que ce soit elle qui choisisse pour toi? » Il rit alors et Nathalie sourit doucement... « Je... je... les chaussures, je veux garder mes chaussures » murmurai-je... Puis j'ajoutai, encore plus bas « maître »... Jo lança alors un gros ballgag à ma compagne : « d'accord! Vas-y toi, met-lui ça!... »

Je fus bientôt bâillonnée, la grosse boule emplissant ma bouche, j'avais mal partout, mes seins allaient éclater et mon sexe brûlait atrocement. Je n'avais pourtant pas encore fait un pas et j'allais devoir parcourir ainsi plusieurs kilomètres dans des chemins caillouteux, à travers champ et je ne devais guère attendre d'aide de ma compagne, ma t o r t i o n n a i r e devrais-je dire! Ca n'allait pas être un partie de plaisir, à n'en pas douter...

Jo s'approcha de moi, souleva délicatement mon menton pour voir mes yeux qui s'embuaient déjà et me regarda affectueusement. J'essayais de ne pas le regarder, retenant les leçons de nos jeux avec Nathalie mais il me f o r ç a à plonger dans ses yeux, un instant. Je frémissais mais je ne saurais dire si c'était de froid ou de peur, une chose était certaine, j'étais consentante à tout ce qui arrivait. J'aurais pu cent fois m'enfuir ou au moins protester mais rien... C'était comme si j'attendais cela depuis toujours!

« Bien » fit-il, « bien... Je vois que tu es docile... pour l'instant! Je te confie à Nathalie qui va t'emmener à la cabanne et là-bas... Je te laisse la surprise! »

Nathalie avait recupéré la longue badine avec laquelle je l'avais agacée tout à l'heure et frôlait mon corps offert avec délectation. C'était moi maintenant qui frémissait et ce n'était pas de froid, cette fois-ci! Nous avions plusieurs heures de marche et je craignais que le jour ne soit là avant que nous arrivions à la cabane. J'attendais avec appréhension, essayant d'ignorer la douleur. J'essayai un pas et ce fut horrible! Je n'y arriverai jamais, songeai-je et je me mis à pleurer...

Jo partit au volant de sa voiture pour nous attendre à la cabane. Il avait bien demandé à Nathalie de ne pas être trop dure avec moi mais je savais bien qu'elle allait se venger. Je l'observais avec appréhension tourner autour de moi et je me demandais où elle frapperait son premier coup... mais rien ne vint! Sa voix douce me surprit bientôt : « allons-y! Nous avons beaucoup de chemin à faire... et tu ne veux pas qu'on te surprenne dans cet accoutrement, n'est-ce pas? »

Elle rit, me montra le chemin et j'avançai : mon calvaire commença...

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